mercredi 8 décembre 2010

Lettre des étudiants à la direction

Voici ci dessous la lettre adressée par les représentants étudiants à Anne Brotot, où nous retrouvons les questions et inquiétudes que de nombreux étudiants se posent encore par rapport à la nouvelle pédagogie que la direction semble vouloir imposer. C'est aussi l'occasion de rappeler notre attachement à la pédagogie actuellement mise en place et notre refus du nouveau projet pédagogique applicable dès la rentrée 2011 à toutes les promotions de Supinfocom.


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43 commentaires:

  1. Cette lettre est tout bonnement parfaite et très claire dans ses propos, sans jamais agresser qui que ce soit. Nous attendons avec impatience toutes les réponses à ces questions ...

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  2. J'adhère totalement à la lettre et je trouve totalement scandaleux tout ce qui se passe à SUPINFOCOM et tout ce que l'on cherche à nous imposer. Je ne comprends même pas pourquoi il faut batailler pour avoir des réunions pour n'avoir ne serait-ce que des explications et pourquoi ils ne nous en avaient jamais parlé auparavant. Tout ça m'inquiète, surtout que ça fait suite directe à un changement de direction. Quel sera l'avenir de SUPINFOCOM ?

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  3. Ou étiez-vous, étudiants de Supinfocom à l'automne 2003?
    En quoi les lois qui s'appliquaient sans concertation au commun des étudiants de France ne vous concernaient pas?

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  4. Je soutiens votre bataille. La parole et l'engagement donné doit avoir un sens et etre péreine. On ne peux pas tout changer sous pretexte de mauvaises raisons, sans tenir compte de son client : vous !

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  5. A l'automne 2003, beaucoup d'entre nous n'étaient encore qu'au lycée...
    Supinfocom est une école privée, libre de mettre en place sa propre pédagogie, qui a d'ailleurs fait ses preuves !
    Que la direction soit incapable de répondre à toutes ces questions montre bien le problème...
    Comme il est dit dans cette lettre, une pédagogie ne peux se mettre en place sans équipe pédagogique.

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  6. 1) Je sais compter et c'est pourquoi j'ai parlé de manière générique d'"étudiants de supinfocm"
    Cependant la suite du commentaire laisse entendre que si vous aviez été étudiant en 2003 vous n'auriez pas réagi de manière différente.

    2) Il semble que Supinfocom ne soit pas une école privée: c'est une école consulaire. "Les écoles dites publiques consulaires ou consulaires sont des organismes dépendant des Chambres de commerce et d'industrie. Ces dernières sont des établissements publics administratifs rattachés au Ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie.

    Elles sont financées en grande partie par l'impôt additionnel à la taxe professionnelle (IATP), les produits propres des CCI et la taxe d'apprentissage." Wkipédia

    D'autre part, vous demandez une reconnaissance de votre diplome par l'état.

    Maintenant, si votre école est entièrement financée par des fonds privés, effectivement... la parole est aux investisseurs privés.

    3) "une pédagogie ne peux se mettre en place sans équipe pédagogique."

    En quoi, votre école est-elle différente des autres formations (de la maternelle au supérieur)? Cela a pas été soulevé à l'automne 2003.
    Enfin, tout ce LMD avait en ligne de mire la mobilité étudiante, donc pensait d'abord à tout ceux qui ont les moyens de bénéficier de cette formidable expérience. Je crois que ce sera votre (dans le sens générique) cas. On sait que le nombre de boursiers de l'état dans le Nord est particulièrement élevé. Qu'en est-il à Supinfocom?

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  7. Ooops!
    Il fallait bien sûr lire: "Cela a été soulevé à l'automne 2003."

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  8. "Mais oui,ou étiez-vous, étudiants de Supinfocom en 91 pour la réforme Jospin? et en 86 pour le projet Devaquet? et en 1947? et en 1443???
    En quoi les lois qui s'appliquaient sans concertation au commun des étudiants de France ne vous concernaient pas?"

    Maintenant, question : En quoi ceci fait-il avancer le débat sur la situation actuelle de Supinfocom? C'est bien brave de jouer les redresseurs de tort syndicaliste à la pointe du mouvement social depuis sa découverte de Proudhon à 15 ans, mais mis à part faire part de votre expérience et d'éventuels conseils sur le sujet, retournez plutôt polluer les forum de l'unef...

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  9. 1)Que viens faire cette histoire 2003 ici ? Personne n'est au courant de ce passage de l'école, personne n'en parle, même les anciens.

    2)De plus, notre école est financée à moitié par notre petite bourse à nous, étudiants, pour la plupart endettés de plus de 35 000 € avant même d'être dans le monde du travail, sans compter tous les frais de matériels et de vie quotidienne comme loyers etc. L'autre moitié est financée par des fonds publics (état et CCI il me semble, mais je n'en suis pas certaine). Beaucoup se serrent la ceinture pour pouvoir se payer CETTE école, et pas une autre. Pour la réputation et l'enseignement qu'elle donne.

    Alors, oui, il y a de quoi être légèrement frustré lorsque tout change en cours de route, sans qu'on ne soit ne serait-ce qu'un minimum informé.

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  10. Pour calmer un peu le jeu... Peut-être que les étudiants de Sup à l'époque du mouvement contre le système LMD (2003) ne s'étaient pas bougés le popotin parce que ça ne les touchait pas ! On peut faire le procès de ce genre de comportement, mais il n'y a pas que les supiens qui agissent comme ça.

    Il se trouve que maintenant Supinfocom est confronté à une situation inédite : une nouvelle direction qui tente de faire table rase de tout ce qui a été construit pendant vingt ans, sans chercher à se concerter ni avec l'équipe pédagogique, ni avec les étudiants.

    Chacun peut penser ce qu'il veut et le système LMD peut avoir des bons comme des mauvais côtés. N'empêche que ce contre quoi les étudiants de Sup doivent se battre maintenant, c'est contre le fait qu'on est en train de les "priver" d'un projet pédagogique pour lequel ils ont passé des concours, se sont inscrits dans cette école et on payé de très grosses sommes (et y'a pas mal d'étudiants boursiers dans le lot, ou d'étudiants qui ont déjà des emprunts très très importants).

    Enfin, si les étudiants considèrent que le système LMD met en péril les principes pédagogiques de cette école, peut-être qu'ils ont tort, peut-être pas, mais en tout cas ils sont en droit de demander des informations.

    Voilà.

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  11. Je viens de lire la lettre de la Direction aux parents, et je dois dire qu'à part me mettre devant un fait accompli (aligner le cursus Supinfocom sur le cursus universitaire LMD), elle ne m'explique rien d'autre. "L'organisation interne de Supinfocom évolue" (§2): certes c'est bien, mais concrètement par quoi cela se traduit-il ? Est-ce une nouvelle organisation fonctionnelle?structurelle?managériale? Et cette évolution interne de Supinfocom "se traduit par une CCI plus forte"!(§3) En quoi l'évolution de l'organisation interne de Supinfocom est-elle la cause de la montée en puissance de la CCI ? J'avoue que je ne comprends pas la relation de cause à effet! Plus loin on nous parle de "transversalité de nos étudiants" : en clair c'est quoi ? Jusqu'à présent j'ai souvent entendu parler de services transverses, comme dans l'informatique, mais appliqué à des étudiants il faudrait me faire un dessin. C'est du blabla marketing tout ca ! Bref, j'aurais souhaité un courrier plus clair qui explicite les avantages "avérés" du passage à un cursus 3+2, et les conséquences concrètes, factuelles et financières que cela implique. Car en fin de compte, il y a bien quelque chose qui se cache derrière tout cela!!...et il serait intéressant de savoir quel en est l'intérêt ?

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  12. Une mère mécontente11 décembre 2010 à 00:29

    Moi aussi mère d'élève , je suis très choquée: Lorque j'ai accepté de financer 5 années d'études soit plus de 30 000 euros, ce n'est pas pour que, sans aucune concertation ou explication, on transforme le cursus proposé au départ. C'est trop facile lorsque l'argent vient des autres...
    C'est indigne d'une école de ce niveau et de cette renommée. C'est inadmissible de sortir ce genre de document (tract de changement de pédagogie) sans en dire UN SEUL MOT auparavant aux étudiants clients et aux parents.Quel valeur nous accorde-t-on? L'école a-t-elle maintenant pour but d'enrichir la région?
    Les étudiants posent des questions qu'ils sont en droit de se poser et la direction quitte la salle. Si cette nouvelle direction est si sure de ce qu'elle fait, pourquoi refuser le dialogue? Ou est le respect dans ce genre d'attitude?
    Ne cherche-t-on pas à nous cacher des enjeux qui nous dépassent?
    Vue la réaction des gens du métier, j'espère vraiment qu'une prise de conscience se fasse de la part de cette nouvelle direction. On ne peut décider, sans aucune concertation avec l'équipe pédagogique (ont-ils cherché à savoir ce qu'en pensaient les enseignants, ceux qui agissent sur le terrain), avec les étudiants, avec les parents et mettre les personnes concernées devant le fait accompli...C'est un manque total de considération. C'est une utopie de vouloir réformer à partir de grandes idées concoctées ou ne sait réellement ni par qui ni pourquoi... On réforme lorsqu'on constate des dysfonctionnements...Quels étaient-ils???
    Les journaux commencent à réagir et sentent bien le malaise voir le scandale qui est en train de prendre naissance. Et ils se posent, entre autres, une question réelle: pourquoi la CCI et la nouvelle direction n'était pas présentes à l'hommage organisé par les élèves? Comment se désolidariser ainsi d'un moment fort de la vie de l'école?
    Une maman mécontente et inquiète

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  13. Et dire que Anne Brotot - nouvelle directrice - nous a affirmé aujourd'hui (à tout les délégués) que les parents n'étaient pas si inquiets que ça .......

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  14. Et bien, il va falloir qu'elle réalise qu'on en parle entre nous et qu'on ne compte pas laisser faire sans réagir.

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  15. Cette lettre reflète l'incompréhension des élèves, quand bien même certaines choses seraient fausses, nous devons obtenir des réponses! ça suffit de considérer les étudiants comme des abrutis tout juste bon à contester et payer leur scolarité!
    Une école c'est aussi les élèves qui la font!

    Aux parents inquiets:
    la direction connait très certainement ce blog, dont l'adresse a été affichée dans toutes les classes. Mais il ne m'étonnerait pas qu'elle ne considère même pas l'existence de cet endroit de discussion de ses étudiants "révolutionnaires" et leurs parents!
    Alors si vous êtes mécontent faites le savoir, par courrier ou en appelant directement l'école en réclamant d'avoir des réponses de la direction!

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  16. le père d'un étudiant11 décembre 2010 à 13:54

    Ecrire à la direction, je vais le faire! Je viens de recevoir le courrier de Mme Anne Brotot. Et je suis très choqué: de quoi?
    1-Ils se disent "à l'écoute des évolutions du monde éducatif et professionnel"....Mais je vois que certaines personnes du milieu professionnel parmi les plus hauts placées en France, sont très surprises par ce qui est en train de se passer. De plus, je suis dans l'éducation nationale, et bien même à ce niveau, on ne perturbe pas un cursus. Pour une réforme du bac, la formation évolue à partir de la seconde mais on ne dit pas à des 1ères ou des terminales: "Ca change pour votre terminale! Car un examen se prépare sur plusieurs années!
    2-"notre organisation interne évolue et se renforce": Je n'ai jamais senti de faiblesse et, une évolution, pourquoi? Quelque chose ne fonctionnait pas? On aimerais en savoir plus. "plus de visibilité et de lisibilité": était-ce si défectueux à ce niveau? En quoi?
    Bon, ensuite, la CCI, je ne vois pas en quoi cela concerne les étudiants qui viennent de toute la France. J'ai du mal à comprendre la place que prend la CCI dans cette histoire. Ce sont surement des objectifs financiers dont on n'ose nous parler. Quel est le but réel? Est-ce vraiment l'intérêt des étudiants, de la région ou encore des intérêts personnels?
    3- On nous parle de mobilité et de transversalité pour les étudiants: Cela demande un peu plus d'explication. Pour moi, ce ne sont que des mots vides de sens pour l'instant.
    4-"Nous faisons évoluer notre cursus": là, pour moi cela devient grave: on nous met devant le fait accompli! Pas de dialogue, aucune info avant la décision prise par cette nouvelle direction qu'on découvre! C'est comme un contrat signé avec un client qu'on modifie de façon unilatérale, sans concertation, sans explication. Incroyable!
    Alors, si ils veulent changer quelque chose ils le font pour les entrants mais pas pour ceux qui sont en cours de formation! C'est totalement en désaccord avec les engagements qui nous ont été présentés lorsqu'on a pris la décision de payer à notre enfant ces études très chères, pendant 5 ans.
    5-"monde professionnel dont nous sommes très à l'écoute": Attention: Le monde professionnel, comme je l'ai dit plus haut, commence à réagir. Pour l'écoute, je pense qu'il y a des progrès à faire: je rejoins la mère mécontente ci-dessus: Pourquoi personne de la CCI ou de la nouvelle direction n'est venu rendre hommage à l'ancienne directrice??? C'est vraiment irrespectueux et navrant vue ce que cette femme a fait pour la renommée internationale de SUPINFOCOM. Pourquoi ce mépris? Merci la reconnaissance!
    5-"Nous restons à votre disposition pour échanger avec vous": c'est un peu tard puisque tout a été décidé sans les profs, sans les élèves, sans les parents.

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  17. @ BDE Supinfocom Valenciennes
    Merci pour cette réponse. Je me permets de préciser monpropos au risque de "polluer" (Kaboom) une *dernière * fois votre forum.
    1) Je ne fais pas de procès. Et mon propos n'est pas de mettre en cause le fait de ne pas "se bouger le popotin": qui suis-je pour décider de l'action d'autrui? De la même façon je ne prétends pas jouer les "redresseurs de tort"(B) (quel tort?).
    2) Mais j'ai questionné
    - le fait d'avoir ignoré (avec dédain?) des mouvements parce que c'était le fait d'"établissements publics" (B) , de "facs" (Clne), de "syndicalistes", de l'"UNEF"(Kaboom)… alors que ce projet LMD secouait l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur en Europe,
    - le fait que certains basent leurs droits sur des arguments qui font penser au suffrage censitaire d'antan (reflet d'une fracture en France qui se creuse aussi entre étudiants de l'enseignement supérieur) (B, Clne),
    - le manque de diversité des visions sur le monde qui nous entoure dans une profession qui a un rôle de plus en plus important sur l'opinion publique,
    - l'absence visible de réaction étudiante au fait que la lettre de la direction soit envoyée aux … parents d'étudiants adultes et majeurs (suffisamment pour s'endetter de 35000 euros (Clne)).
    3) Pourquoi parler de 2003 et pas de 1143? Parce que le fait que "Vlad Dracul, prince de Valachie prisonnier des Ottomans depuis 1442, entre en Valachie et récupère son trône avec leur aide" n'a pas la même importance pour vous que la mise en place du LMD. Contrairement à la plupart des établissements de l'enseignement supérieur, qui demandaient d'abord un moratoire pour contruire leur nouveau projet pédagogique, Supinfocom a eu 7 ans pour voir venir. Le passage de 4 à 5 ans n'a-t-il pas été effectué suite au LMD avec l'ancienne direction? Qu'en disent chacun de vos enseignants?
    4) Votre mécontentement face au manque d'informations devrait aussi porter sur le fonctionnement de votre école. Comment les différents acteurs (étudiants , techniciens et administratifs, enseignants, direction, société civile/état (investisseurs?), …) sont-ils (devraient-ils être) représentés dans les différentes instances consultatives et décisionnelles d'une structure somme toute relativement réduite? (Les "parents d'élèves" auraient-ils réellement vocation à y être représentés?). Quelles sont les modalités de vote et de prise de décision dans ces instances? Le contenu de votre lettre avait effectivement vocation à être discutée d'abord aux premiers niveaux du processus dans l'une de ces instances, (et ce depuis 2003!) et non dans des blogs publics - même "révolutionnaires" (Hélène Marchal)- non représentatifs, quitte à ce que la décision finale ne soit pas prise à l'unanimité.
    S'il y a eu des défaillances de ce côté, il semble assez puéril de limiter la contestation à un résultat sans corriger le processus qui y a mené.
    5) Enfin, bien que n'étant pas du milieu, vous êtes le coeur de votre école, sélectionnés comme les plus talentueux, il me semble que vous avez de bons profs et de bonnes conditions de travail.
    Alors, LMD ou pas, vous resterez l'élite dans votre domaine et dans la société et vous pourrez continuer à penser que vous n'avez rien à apprendre des autres (Doc. "question03_page4.jpg").

    Sur ce, je vais suivre le conseil de Kaboom, et m'intéresser à Proudhon et Diondine que je connaissais pas.

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  18. Indy a dit…

    "1) Je ne fais pas de procès.
    [...]et vous pourrez continuer à penser que vous n'avez rien à apprendre des autres."

    C'est pour continuer ainsi, en bon égocentrique nombriliste aux ego sur-dimensionné,
    que nous prenons le temps de lire tes laïus au partie prix évident de vouloir cracher
    sur une école qui t’énerve pour des raisons qui me sont étrangères. Pour 3 connard qui
    se prenne pour Ernesto guevara, tu nous ponts une généralité bien puérils.

    D'ailleur en parlants de choses puérils...

    "S'il y a eu des défaillances de ce côté, il semble assez puéril de limiter la contestation
    à un résultat sans corriger le processus qui y a mené."

    Et c'est pour ça que le Bde a vu le jour. La réaction fasse a tout ça est en cour.

    Pourquoi ne pas réagir plus vite? je sais pas, le problème ne semblait pas être présent.
    Pourquoi ne pas régir plus tôt? (2003)
    parce que , malgré de "financement " comme tu la magnifiquement expliqué, cela reste un organisme qui
    se targue d’être privé. Et qui répond a ses propres règles. C'est du moins ce que nous pensions ! A voir..



    "5/ Enfin, bien que n'étant pas du milieu, vous êtes le coeur de votre école, sélectionnés comme les
    plus talentueux, il me semble que vous avez de bons profs et de bonnes conditions de travail. "

    Comme les plus talentueux...au oui j'en veux..:)... mais non. Le "comme" est important. Parcequ'au font
    notre formations en vaut d'autre. Et nous sommes tous bien lucide sur ce point.

    Pour les enseignants et les conditions de travail .Tout a fait d'accord

    . Mais si j’achète un Iphone et qu'on m'offre un blackberry, (ou l’inverse :D)
    je resterai frusté et degue de pas avoir eu ce que j'avais demandé. Pourtant un blackberry ,c'est classe.
    Parce que je considère qu'on achète la formation qu'on nous offre et que la changer en cour de route sans
    concertation avec les principaux investisseurs(autre que la chambre de commerces) tel que les parents ou les étudiants eux même
    , reste une honte.LMD ou paS ; :)

    Bon c'est pas tout mais je retourne me renseigner sur deux trois chosess. Pas mal de points soulevé reste interessant.
    Je voulai juste te faire part de ce sentiment de propaux inapropriés au milieux d'un discourqui aurait pu etre constructif.
    Cette situation reste un problème, qui ne necessite pas d'article tendencieux .
    Juste des remarques et explications constructives.

    Merci pour cette partie
    Dommage pour le reste!!!

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  19. vous avez eu une réponse ou tjrs pas?

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  20. Les parents très mécontents et inquiets d'un élève disent :

    Bravo tout d'abord aux étudiants pour leur lettre à la direction, claire, précise, complète.

    Par contre le courrier de la directrice reçu ce matin nous laisse sur notre faim : il nous parle d'écoute, de lisibilité, d'évolution. Mais étudiants comme parents et professeurs sont mis devant le fait accompli, et l'évolution annoncée reste totalement mystérieuse, voire inquiétante !
    Quelle considération cette nouvelle direction a-t-elle pour les élèves et pour les professeurs qui auraient dû être consultés ?

    Les points soulevés ont-ils des réponses qui ne peuvent pas être dites, ou bien elles n'existent pas encore, et qui vivra verra, avec la désorganisation totale qu'on peut supposer !

    URGENT !

    Il faut réagir au plus vite, et faire pression auprès de la direction pour obtenir des réponses claires et concrètes, et des garanties sur la conservation de la qualité actuelle de la formation ; la seule méthode, c'est que tous les parents bloquent le paiement de l'échéance que nous venons de recevoir, en le présentant comme un report de délai, dans l'attente des réponses attendues.

    Merci de faire vite passer ce message, car l'échéance de paiement est pour le 17 décembre, et il faut qu'un maximum de parents suivent cette démarche, sans quoi elle ne sera pas efficace !

    Que tous ceux qui nous suivent se manifestent au plus vite sur ce blog, merci d'avance.

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  21. oulala aïe aïe aïe faites attention à votre orthographe... même si la langue française est compliquée je le reconnais, il y a des fautes qui restent affligeantes pour des étudiants en supérieurs (sans compter les fautes de frappe pour lesquelles on ne peut pas toujours grand chose...). Cela aurait tendance à vous discréditer quand bien même ce que vous revendiquez est primordial et tout à fait fondé.
    à bon entendeur relisez-vous! Cela évitera tout du moins de trouver 5fautes dans la même phrase...

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  22. @ Ancien étudiant

    "Cette situation reste un problème, qui ne necessite pas d'article tendencieux.": c'est en effet une façon de mettre fin à un échange.

    Que penser de la juxtaposition:
    "1) Je ne fais pas de procès.
    [...]et vous pourrez continuer à penser que vous n'avez rien à apprendre des autres."
    sans tenir compte de la référence: Doc. "question03_page4.jpg" (que j'avais pris soin d'ajouter pour fixer le contexte, pensant éviter que ce ne soit réduit à une injure)?

    J'avais cru comprendre que cette page disait en résumé: comme Supinfocom est la meilleure, "dès lors on peut se demander dans quel sens ces échanges seront-ils les plus profitables?"(en gras).

    Je n'ai visiblement pas compris ce document et ton commentaire m'a fait comprendre(*) que ma phrase était alors maladroite, mes "propaux inapropriés". Désolé si elle a pu laisser entendre tout ce que tu écris.

    Ooops! J'avais dit le *dernier*…

    (*) mais pas en quoi ma lecture était erronée.

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  23. parent d'élève ou Marie !11 décembre 2010 à 17:54

    "nous sommes les seuls à proposer une formation post-bac sur 5 ans, souligne Anne Bretot. Les deux premières années s’attachent à leur donner une solide base artistique, dessin, sculpture, peinture avec toujours un objectif de production. Puis, durant le second cycle de 3 ans, nous nous concentrons sur la maîtrise des outils informatiques, mais aussi sur
    l’écriture d’un scénario, la réalisation, le montage, la post-production, le tout mis en application sur le film de fin d’études." ......Propos de Madame Bretot....

    référence 2 juin 2007 .. Les futurs maîtres de l'image animée. Formation ...SUR
    www.cg13.fr/fileadmin/mes.../2007-Accents-174-mai.pdf



    Pour ma part je me suis engagée à payer 30000 euros pour une formation donnée avec un programme précis

    La lettre de Madame Bretot adressée ces jours derniers aux parents de façon très désinvolte a un contenu bien flou et je dirai arbitraire ,imposé sans concertation .... Une petite invitation avec l'équipe pédagogique , la directrice aurait sans doute été de bon ton , de respect et très certainement utile


    De façon circonspecte, je suis plus que tentée à surseoir au paiement du 17... pour rupture de contrat ......j'ai besoin de vos réactions , de vos avis .....

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  24. Parent d'élève très mécontent :

    En effet, sans rajouter à tous les commentaires et inquiétudes bien réelles ressenties par tous, je crains malheureusement que la seule solution actuellement pour calmer les ardeurs et la précipitation incompréhensible de la nouvelle direction, et engager vraiment le dialogue, c'est de refuser de payer pour l'instant pour une autre formation que celle (chère) que parents et étudiants ont choisie, correspondant à un cursus précis.
    La notion de "rupture de contrat" est bien réelle, et ne doit pas être unilatérale de la part du créancier, si ce dernier ne fournit pas la prestation "vendue".

    DONC, faisons tous un courrier de réponse à la lettre de Mme BROTOT, faisant référence à l'article 3 de "l'engagement de scolarité", qu'elle parait oublier en ce qui la concerne, en lui demandant de répondre point par point par écrit à la lettre des étudiants, et en suspendant le règlement du 2ème trimestre !

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  25. Message de soutien d'un parent d'étudiant:

    Merci aux étudiants tout d'abord de réagir à ce changement de cursus sans discussion, ni concertation de la part de la Direction; ils sont majeurs et partie prenante du succès de SupInfoCom me semble-t-il au vu du succès et de la reconnaissance de leurs films.
    Ils (ou/et leurs parents) s'endettent afin de pouvoir fréquenter cette école.

    La Direction actuelle devrait être très claire au niveau des changements et améliorations à apporter à cette formation. Et si elle doit le faire, qu'il le soit en concertation avec toutes les parties prenantes intéressées au bon niveau de la formation dispensée à SupInfoCom soit :

    Demander aux ses enseignants (adultes) et ses étudiants (adultes aussi!) :
    Qu'est-ce qui fonctionne bien et peut-être amélioré ? Pourquoi et comment ?
    Qu'est-ce qui fonctionne moins bien et est à changer ? Avec toujours des "pourquoi et comment ?"

    Il faut des discussions et explications franches, complètes, sans ambiguïté et sans pénaliser la formation actuelle jusque-là offerte par les enseignants aux étudiants de SupInfoCom.

    Une Direction doit toujours faire des choix (imposés ?) mais lorsque ces choix sont participatifs ou du moins consultatifs, les décisions peuvent être comprises et (mieux) acceptées. Ou les étudiants (ou parents) ne sont-ils bon qu'à payer et à se taire ?

    Que se passera-t-il pour SupInfoCom si les étudiants désertent une formation qui ne les satisferait pas ou qui serait moins bien reconnue au niveau des professionnels de la branche ?

    N'y a-t-il pas eu engagement de la Direction de SupInfoCom au niveau du contenu de la formation (d'ailleurs toujours sur leur site Web) ? Peux-t-on changer unilatéralement une sorte de contrat passé entre SupInfoCom et des étudiants (et parents en soutien financier) en gage des paiements ?

    La réputation de SupInfoCom repose sur une Direction qui donne un cap et des moyens, mais aussi et surtout sur des enseignants compétents et exigeants, et des étudiants motivés et volontaires. Cet "équipage" n'est pas à saborder sur de mauvaises décisions et choix.

    Bref, un soutien inconditionnel d'un parent aux étudiants, à leurs professeurs et à l'excellente réputation de SupInfoCom.

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  26. Si vous, étudiants et parents, décidez de suspendre le paiement du deuxième trimestre, il me semble que cela devra s'organiser de manière a ce que rien ne puisse nous être reproché.

    Après en avoir parlé avec mes parents et d'autres personnes, la solution la plus imparable sur ce point serait de faire appel à un huissier, à qui nous paieront notre trimestre, mais qui ne le remettra pas à l'école et la CCI. Ainsi, ils ne pourront pas nous reprocher de ne pas avoir voulu payer notre scolarité ou d'avoir profité de ce conflit pour ne pas la payer.

    Cela permettra aussi à tout le monde de ne pas avoir à débourser 5000 euros d'un coup, rendant ridicule notre choix de payer l'école en trois fois...

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  27. Madame Brotot, vous qui lisez ces lignes avec inquiétudes, voici ce qu'un peu de logique et d'intuition aurait du vous inspirer:

    1. Reconnaitre le travail et l'engagement de MAF, et s'affirmer humblement comme sa succession.

    2. Réunir les profs. Puis les élèves. Leur poser la même question : Qu'est ce qui fait de Supinfocom une école de cette renommée ? Quels sont ses points forts ? Quels sont ses points faibles ? Que faut-il vraiment améliorer?
    Écoutez particulièrement les professeurs qui y sont depuis de nombreuses années (je sais que ça vous sera difficile, mais c'est indispensable).

    3. Abandonnez la langue de bois, les discours creux et les paroles vides.

    4. Une fois que vous aurez une idée un peu plus claire de la marche à suivre, mettez vous du bon coté. Identifiez ce que sont de mauvaises raison. L'argent, la renommée, et l'intérêt personnels n'en sont pas. Laissez gentiment de coté ceux qui insistent. Faites appel à ce mouvement de contestation pour justifier vos choix si nécessaire. La force des anciens étudiants, des étudiant actuels, des parents d'élèves et des professionnels du milieu peuvent pencher de votre coté si vous faites les bons choix. Et cette force est bien supérieure aux quelques petits politiciens qui vous dictent encore votre conduite.

    Ce qu'il vous reste à faire n'est pas facile. Mais nous autres étudiants ne souhaitons que vous suivre.

    Bon courage.

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  28. Sacré B: les conseils que tu donnes à ton interlocutrice et le ton sur lesquels tu les donnes, me semblent tout à fait appropriés pour ouvrir un dialogue basé sur le respect de chacun des interlocuteurs! Tu as manqué une vocation de diplomate!

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  29. Mme Brotot, vous ne pouvez poursuivre dans ce sens, sans les professionnels qui se rangent du côté des étudiants, sans l'équipe de profs qui assure avec brio la formation, sans vos étudiants qui sont la raison d'être de votre école! Oui, le changement de cap c'est aujourd'hui ou jamais.

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  30. Quel magnifique commentaire de B !!!

    Maintenant, reste à voir si cette madame va passer sur notre site, et si elle compte appliquer ce que tu lui conseilles ... car à ce qu'il parait, "elle joue sa carrière dans cette réforme " Tu m'étonnes !

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  31. Le combat de Madame Brotot n'est pas le bon. L'école doit continuer à évoluer, bien sur, mais en cultivant sa différence !
    C'est une école d'exception, il ne faut pas en faire un établissement lambda pour des raisons incertaines.

    Merci aux délégués de préparer un courrier commun à adresser à la Directrice, à la CCI et aux politiques concernés (Chistine Lagarde, ministre de tutelle et JL Borloo député de Valenciennes à partir du 14/12) je me ferai un devoir de l'envoyer.

    Un parent mécontent de plus !

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  32. Imprimer ces commentaires ne serait-il pas une tactique judicieuse pour faire lire les-dits commentaires de parents, élèves et autres au personnes concernées...?
    Plutôt d'attendre un coup d'oeil heureux...

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  33. Juste une question , si il y'a un concours supplémentaire à Supinfocom ,où vont être placés les nouveaux élèves qui vont arriver ? Sachant que les sic 1 sont déjà dans une salle à l'étage où ils ne peuvent pas rester en résa, et que les étudiants seraient encore plus les uns sur les autres dans les salles.(Surtout en dernière année).
    Si le nouveau système est mis en place dés l'année prochaine , cela veux-t-il dire que soit dés étudiants seront virés pour faire de la place , soit qu'ils seront dans des conditions de travail difficiles ?
    D'autre part , avec ce nouveau concours des personnes ayant déjà connaissance de la 3d arriveraient. seulement la grande majorité ne connaitra que 3dsmax,(parce que c'est le logiciel le plus connu et utilisé) et comme la répartition sur les deux logiciels est aléatoire, des personnes connaissant 3ds max vont se retrouver sous maya,à débuter, retardant la production d'un film ,tandis que les autres groupes qui travailleront sous 3dsmax n'auront pas ce retard? Ça créerait une inégalité....

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  34. Bonjour,
    pour répondre A : B et C, moi D voudrais plussoyer et ajouter mes remarques.

    Je suis d'accord avec C et Mr Pillot ci-dessus. Notre combat n'est pas contre Anne Brotot en soit.

    Mais je comprends TOUT A FAIT les remarques agacées qui se dirigent contre Mme Brotot et son assistante Mme Lerustre.

    En effet, on parle de respect et de diplomatie. C'est à la direction aussi de montrer l'exemple. Or celle-ci n'a fait preuve ni de l'un ni de l'autre :

    Est-ce diplomate que de sortir un papier sans en toucher un seul mot aux étudiants, sans prendre une seule fois en compte les remarques de la totalité ou presque de l'équipe pédagogique qui est plus que sceptique (sur les nouvelles évolutions)? Est-ce diplomatique que de sortir de réunion avant que tout les élèves aient fini de poser leurs questions qui étaient tout à fait pertinentes.

    JE NE PENSE PAS

    Hier, les délégués sont allés dans le bureau de Mme Brotot remettre le fichier numérique de notre lettre ouverte afin qu'elle puisse selon elle, faire des "copier coller" de nos questions (par facilité). Par cette même occasion ils ont rappelé la demande faite, et la nécessité d'une réunion avec la totalité des étudiants, la CCI, et l'équipe pédagogique. Mme Brotot à clairement "trainé des pieds" en montrant sa non-motivation pour monter cette réunion, elle préfère répondre par écrit (aucune confrontation). Elle a même répondu à la place de la CCI en leur annonçant presque qu'ils ne viendraient pas (ou son désir de ne pas faire suivre l'information). Mme Brotot a même affirmé que les "parents ne sont pas si inquiets" ......

    En sortant du bureau, Corine Lerustre, nouvelle chargée Marketing et bras droit occasionné d'Anne Brotot ayant assisté à l'entrevue, a vu tout les délégués réunis dans le couloir de l'administration qui sortaient du bureau de Mme Brotot également. Elle s'est, dans un rictus, moquée d'eux en ricanant "bande de petits révolutionnaires".

    Est-ce du respect ? sont-ce des propos que des membres de la direction doivent tenir face à des élèves concernés qui font leur travail de délégués ???

    JE NE CROIS PAS

    Et je comprends par là l'énervement qui en découle directement et donc le message de B adressé à notre directrice. Je trouve même qu'on est très sympa vu tout ce qui se passe et que ça aurait pu bien plus déraper (chose que je n'espère pas du tout !).

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  35. Si des parents d'élèves ou étudiants ont déjà pris l'initiative de répondre à la lettre envoyée par Anne Brotot, et qu'ils souhaitent partager leur courrier, nous vous invitons à nous les faire parvenir par mail à l'adresse suivante : bdesupinfocom@gmail.com !
    Merci d'avance !

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  36. Bonjour à tous,
    Comme tous les parents, nous avons été atterrés par le courrier de la directrice sur les modifications du cursus des élèves de Supinfocom.

    J'adhère complètement aux commentaires pertinents sur les procédés incompréhensibles et opaques que la direction utilise pour justifier et faire passer cette « réforme ».

    Cette école mérite bien mieux que les pratiques dictatoriales qui semblent prévaloir depuis le départ de l’ancienne directrice. C’est une référence incontestable dans le monde, et il serait dommage qu’elle perde son âme sur l’autel du profit et de l’intérêt individuel de ses dirigeants.

    Si cette même direction ne veut pas considérer nos enfants autrement que comme une "bande de petits révolutionnaires" , c’est à nous , qui finançons pour la plupart les études des élèves et par conséquent une grande partie de l’argent qui entre à Supinfocom, de mettre la pression pour obtenir d’être considérés et d’avoir les réponses aux questions posées.

    En ce qui concerne le blocage du paiement de l’échéance à venir, il serait bon de recenser les parents qui soutiennent leur enfants dans leur démarche (et j’ose espérer qu’ils sont nombreux) à travers une liste tenue par le comité des délégués d’élèves. Ou encore mieux que les parents prêts à agir pour le bien de leurs enfants envoient un Email directement au responsable de ce blog.

    Une action non concertée serait non seulement inefficace mais peu être désastreuse pour la suite de ce mouvement.

    En outre j’aimerai bien connaitre l’organigramme nominatif de la structure de Supinfocom et les ramifications qui impliquent la CCI .

    Ok pour une lettre (avec AR) commune du collectif des parents d’élève, qui serait envoyée par chacun à la direction et la CCI.
    S i nos motivations écrites ne suffisent pas , demandons à être reçus par la direction et les membres de la CCI concernés par Supinfocom.

    Que dire des prochaines journées portes ouvertes et des différents salons qui seront censés faire la promotion de Supinfocom . Quels étudiants seront assez motivés pour vanter les mérites d’une école qui les trahie….

    Attention au pouvoir des masses, l’histoire nous a montré que l’on a déjà coupé la tête à d’autres despotes ;=)

    Un parent révolutionnaire …

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  37. Pour reprendre ce qu'a écrit Michel.

    Plus qu'une lettre commune d'un BDE de parents d'élèves, il faudrait que tous les parents d'élèves envoient une lettre personnelle de réponse à Anne Brotot (avec accusé de réception) réclamant des précisions claires et exprimant la désapprobation ambiante. Elle se verra obligée de répondre à chacun de ces courriers et prendra alors conscience du mécontentement de ce que nous pensons être une grande partie des parents d'élèves !

    En plus du courrier en retour de celui de la directrice, un courrier, commun ou non aux étudiants/parents, envoyé au responsable de la CCI devrait être mis en place prochainement. Il pourrait prendre aussi la forme d'une lettre ouverte qui pourrait aussi être diffusée dans la presse.

    Pour l'organigramme de la structure de Supinfocom nous allons nous y atteler.

    Pour les propositions de non paiement de trimestre, il faut effectivement voir avant tout si l'action serait LARGEMENT suivie. Ce n'est pas une décision à prendre à la légère, et nous la considérions jusqu'à présent comme "extrême" (utilisable en dernier recours). Comme le disait un commentaire plus avant, il faudrait que tout celà se fasse sous l'égide d'un huissier, afin que ça ne se retourne pas contre les payeurs !

    On va essayer de mettre tout ça en place rapidement.

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  38. Parent d'élève inquiet :

    Bonsoir,

    Suivant attentivement l'avancée des idées proposées, afin d'obliger la direction de réfléchir avant de statuer définitivement sans tenir compte de l'avis très majoritairement inquiet, je vais me renseigner pour savoir quelle démarche légale l'ensemble des parents (souhaitant surseoir éventuellement au paiement d'une scolarité dont le programme ne correspond plus à celui initialement prévu)peut être mise en place.
    Je pense qu'un paiement sur compte séquestre doit être possible, mais en effet cadré et mutualisé.

    Réponse demain sans faute

    Toutefois, le but premier est de trouver une écoute et un accord avec Mme BROTOT, sans avoir besoin d'en arriver à cette extrémité.
    L'intérêt commun à tous, Direction, étudiants parents,professeurs et partenaires, est de trouver une issue favorable à cette situation.

    Nous attendons impatiemment la réponse de Mme BROTOT.

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  39. Une mère en colère12 décembre 2010 à 23:17

    Nous sommes vraiment unis à toutes ces démarches visant à protéger l'excellence de SUPINFOCOM. Malheureusement nous ne pourrons vous aider en ce qui concerne la paiement car nous avons payé en une fois. Cependant nous allons écrire à Mme Brotot. Il faut vraiment une mobilisation des parents mais aussi des personnes du métier et des professeurs afin que cette direction réalise que seul on ne peut rien. Espérons que la raison prendra le dessus.
    Comment appelle-t-on un gouvernement
    Qui fait table rase du passé
    Qui prend les décisions tout seul
    Qui refuse le dialogue
    Qui humilie ou se moque de ses représentants
    Qui renvoie les personnes qui les dérangent
    Qui ne sait se servir de la richesse des autres
    Qui fuit la confrontation
    Qui ne sait pas grandir avec le potentiel déjà existant
    Qui impose sans explication
    Qui utilise son pouvoir sans discernement
    Qui ne respecte pas son peuple
    Qui ne tient pas sa parole

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  40. "BDE de parents d'élèves"
    Elève parent d'élève?
    Lapsus révélateur?

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  41. Révélateur de quoi ? De l'incapacité de la nouvelle direction en terme de communication? De la médiocrité et de l'irréfléchi du changement imposé ? Ou bien de la lamentable manière dont Madame Brotot suit à la lettre des dirigeants intéressés par l'argent ?

    Que Madame Brotot prépare bien ses réponses, voila tout ce que je lui conseille. Personne ne fera la promotion d'un système qui déplait à tout le monde.

    Une bonne réputation est dure à acquérir. Une mauvaise réputation s'obtient beaucoup plus vite.

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  42. Pour répondre à l'un des parent d'élève ci-dessus, Michel, plusieurs étudiants ont déjà été solicités pour représenter l'école (pour ma part dans un lycée comme l'an passé, un ami pour aller dans une prépa d'art, une autre pour les plaquettes de supinfocom ... bref) et en effet, tout le monde a refusé. Pas même par esprit "révolutionnaire", mais juste parce qu'on a pas envie de représenter cette école, celle qu'on nous vend actuellement et qui nous dégoute.

    Pour ma part, cela fait deux ans que je me faisais une joie de représenter à trois salons différents l'école, mais cette année, le coeur n'y est pas.

    Ils devront se passer de nous, et ils ne peuvent pas se dédoubler dans tous les salons étudiants de France, et donc devoir supprimer leur stand dans bon nombre de salons. Là pour leur marketing, ça risque de leur poser problème ... J'espère que, tant qu'à faire, ça aussi ça les fera réfléchir sur la manière de traiter leurs étudiants ...

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  43. Bonjour,

    Donc si je comprends ce qui est en train de se passer à Supinfocom, c'est dans la logique des études des réformes de l'enseignement supérieur. Il s'agit "d'harmoniser" (malheureusement par le bas) les études supérieurs avec l'université.
    Il y a plusieurs choses auxquelles vous devez prendre grade. Outre, la qualité de l'enseignement qui, si les changements voulu par la direction ont lieu, vont se dégrader du fait de la marchandisation de cet enseignement. C'est à la reconnaissance du diplôme que vous devez être vigilant s'agit il d'un "niveau licence ou master" ou d'un "grade licence ou master". Le premier est l'équivalent d'une licence ou d'un master, le second est moins bien reconnu. Les étudiants infirmiers par exemple sont confronté à ce problème.
    J'espère que vous sortirez de cette crise, bon courage.

    Un syndicaliste étudiant

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